Bamboula
Lors de ma seance de meditation matinale, j ai retrouve dans ma memoire de très vieux souvenirs...qui viennent un peu contredire l image d un pere figurant.
Celui-ci m aidait à m endormir en me contant les histoires de Bamboula, le negre comme on disait alors sans penser à mal ( tout près du Lycée Carnot: une patisserie géante et chic "chez les negres" avec de faitcdes visages de negres sculptes sur les murs).
Je pense que ces recits devaient me plaire et m apaiser.
A cet âge on.le sait ce n est pas tant la variété des recits qui capte mais la forme, le ton, le rituel et le recitant.
Le père à travers un.recit objevtivemeny ennuyeux et brevissime se raconte, affirme sa presence de pere , occupe sa place et de ce fait assure celle de l enfant.
Bamboula servant de prétexte.
L essentiel n est pas là.
Le recit est là pour mettre en forme et instaurer un.ordre du monde avzny de basculer dans le chaos.
Bamboula au fond rejoint toutes les mythologies du monde.
Et la dichotomie fondamentale Chaos/Cosmos.
Blzvatski developpe ce cycle chaos / ordre.
L un.ne va pas sans l autre.
A l echelle du rapport entre un.pere et son fils à ce moment de grande fragilité celui du passage veille-sommeil et à lechelle de l Univers.