Les soucis de la vie
J'ai essayé de renouer pour la nième fois avec le jeune homme qui m avait aidé lors de ce déménagement difficile mais après mon silence test de plusieurs jours j ai eu droit à une réponse laconique qui en annonçait une autre plus développée; quelques mots secs me sont parvenus la nuit alors que je m'étais endormi. Du coup je n ai pu résister à demander des explications au moins en pointant ce fait qu il est préférable de s'expliquer, d élever les malentendus. Je ne sais pourquoi je m'atatche à ce point à certaines personnes et je le sais en fait; j en ai souvent parlé ici.
A croire que la vie est une "défilé" de soucis Macron ou pas (je palisante à peine car le fait d avoir un Président qui "assure", çà joue aussi surtout après la désastreuse présidence précédente qui m était insupportable (je ne pense pas être le seul..).
Je me dis à quoi bon suivre enseignement magistral sur le bouddhisme et ce qu il permet et promet à ses adeptes; hier dernier cours. J ai assisté à tous les cours le dimanche et chaque fois je suis comme emporté par la profonde vérité de ce qui y est dit de même que par la personnalité du conférencier.
Tout le monde a applaudi un long moment moi le premier; j ai rarement assisté à une enseignement de cette hauteur...pour retomber dès mon retour chez moi et ma solitude dans les errements dont j ai parlé plus haut.
La vie est courte pourtant je le sais bien. Pourquoi s encombrer de problèmes relationnels? Mais ce discours est celui de la froide raison; je suis un être de passion ou disons de sentiment vrai; j ai un intense besoin de lien, de partage, de tendresse...
Est-ce pathologique? Je reconnais mes limites mais qui n en a? Il est vrai que je m attache à des êtres et la douleur d ela perte est à la mesure de l attachement; que faire alors que passe le temps?
La solution bouddhiste me paraît difficile et au dessus de mes forces; en gros ne compter que sur soi et si ce "soi" est faible et en demande?