La nécessité de la négativité de la vie

Plus j avance si l on peut dire dans cette vie qui reste un épais mystère plus je constate la "sagesse" de l enseignement de Midal et de Chogyam Trungpa et du bouddhisme (du stoïcisme) si l on veut un équivalent dans la pensée de l Occident.

Hier jour de toutes les contrariétés: panne d ordi (avec ses mises à jour constamment répétées; qu y puis-je?), d où escamotage de la méditation et de la petite séance de yoga; froid sibérien brutal, et bouquet final trajet le soir vers un lieu assez lointain en pleine froidure humide pour une réunion non sans mal malgré le GPS. J y arrive enfin mais n ayant pas de code d accès (ah! ces codes partout et toujours n'allez pas me dire que çà rend la vie facile!) je téléphone et on me répond qu il y a eu un changement de dernière minute qui ne m a pas été communiqué (je précise que j ai portable donc possibilité d'appels audio de sms et whatsapp sans compter les mails; de plus en plus je pense que décidément nous sommes dans la société de la non-communication er du rapport fou au temps: on change de date comme de chemise, on réserve un an à l avance mais d un autre côté on annule une heure avant un rdv. Trouvez-vous cela normal? Moi pas)

Pourtant j essaye de voir autrement la vie dans la foulée de ce que nous avit dit en passant le très bon prof de cinéma sur la misère à l époque des Frères Lumière.

En sortant je me suis dit: certes on perd tous les jours des emplois mais la misère ouvrière au temps de Proust a disparu.

Mais il est dur d echanger de vision du monde.

Pour revenir au thème d ece blog, mlieux vaut une fois pour toutes et ce, quelle que soit l epoque faire face à la négativité réelle de la vie (sans obligatoirement invi=oquer Hegel). La regarder en face, faire amitié avec elle, ne pas avoir honte de ses failles, de ses manques, de ses lacunes.

Les Anciens nous l enseignent: les héros grecs ont tous une faille qui signe leur humanité.