L ère Macron

La France est anesthésiée alors que l économie se porte d eplus en plus mal et que les charges diverses pèsent sur la quasi totalité de la population. A quand la fin des classes qui sont de moins en moins moyennes?

Les sourires tous azimut, les voyages pour faire briller l étoile palissante de la France, les chiffres astronomiques du chômage, de la dette, des déficits ne trompent personne.

Mon cas personnel est édifiant: je suis retraité et pour l année qui vient la CSG plus d autres prélèvements nouveaux vont peser sur un budget de plus en plus difficile à boucler. Les dépenses médicales augmentent à cause de l âge mais les remboursements diminuent et tardent, les frais de toutes sortes souvent d autant plus insupportables qu ils sont imprévisibles s envolent et surtout le coût de la vie ( l ancien "panier d ela ménagère") est invraisemblable.

De l autre côté je l'ai déjà dit, je donen des cours de soutien (petites rémunérations mais occupation, socialisation, occupation agréable du temps libre) mais chute sans précédent et ce n est pas tout: les gens tardentbà payer, annulent à tour de bras, règlent en partie. Pourquoi alors que moi suis toujours au rendez-vous, toujours ponctuel, toujours sur le pont? Je précise que les personnes qui font appele à moi ne sont pas précisément des sdf.

La politique austéritaire croît et embellit et les résultats sont là.

Mias personne ne bouge alors pourquoi s arrêter en si bon chemin?

Les français de l étranger ont voté massivement pour le génie de l Elysée; normal, ils connaissant peu de la sotuation du pays et ils appartiennent aux nouvelels classes dynamiques qui occupent des niches d avenir dans des pays florissants.

Le cauchemar et le naufrage des classes qui étaient le pivot même de l économie continue mais çà n intéresse personne.

Plus que jamais, un pays ne se gouverne pas comme une entreprise mais comme un pays avec une histoire, une culture, des valeurs, un arbitrage permanent entre les lobbies et surtout des valeurs universalistes et désintéressées.

On est très loin du compte!