Le temps des vacances...

Oui à ce qu il paraît...J aimerais ne pas jouer une fois de plus les grincheux mais qu'y puis je  c est ma pente naturelle ou habituelle (l habitude étant une seconde nature); je ne vais pas énumérer les motifs de mon inquiétude ou de ma mélancolie.
Par contre, j ai visionné hier un clip sur you tube de Fabric Midal toujours remarquable par ses vêtements rutilants (pourquoi ce goût au juste? j ai mon idée mais je préfère la garder pour moi car je respecte et admire cet homme et ce qu il fait pour le bien d autrui et puis l'habit n efait pas le moine dans le sens où le paraitre s'il fait sesn n est pas le tout du sens). Midal disait en gros que chacun est ce qu il est et doit l accepter non s y résigner mais l accepter; ainsi en se (re)connaissant de plus en plus on sera en mesure de se connaitre tele qu on est et de s aimer donc d avoir pour les autres cette compassion ou à tout le moins cette compréhension à la limite universelle. Je parlais du look spectaculaire de Midal; pourquoi pas? ça n ajamais tué personne de se faire plaisir; je me dis que tout mouvemnt de rejet, de recul, de critique à l égard d'autrui signe un problème personnel. En effet si on s'acceptait pleinement surtout et y compris dans ses failles, ses limites, ses faiblesses, on sera plus à même d'accepter celles des autres.
Pour revenir ) Midal il est vrai que l'une des causes de notre mal être est cette pulsion à se comparer; je ne suis pas aussi riche, beau, intelligent, cultivé, jeune, etc que celui-ci ou celui-là. peut-être et alors? N'ai-je pas des qualités méconnues de moi? Ne suis-je pas apprécié paradoxalement pour ce que je pense être des défauts? Et ceux qui sont dotés de telle qualité que sont-ils in toto? Sont-ils bien dans leur peau? La question du bonheur point derrière toutes ces interrogations et ces frustrations qui rendent malheuruex a minima. Il y a déjà assez de sujets de l'être, malheureux par le cours de nos vies...

Pour revenir à la méditation promue par Midal et son Ecole, en théorie du moins elle pourrait nous apporter sur nous un regard distancié, non impassible mais plus ouvert, plus bienveillant (tiens cela nous rappelle ce principe de la psychanalyse: neutralité bienveillante, formule oxymorique à creuser...une autre fois.