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Choses vues entendues sues
27 juin 2016

Mal malaise maladie

Dure nuit pour moi avec réveil de la douleur à la cheville alors que, malade discipliné, je respecte à la lettre les presciptions médicales; d'où surcroit de l angoisse; dans ces cas-là tout se ligue; ça a eu lieu dimanche jour que ja ia appris à haïr, coup de fil (ou son ersatz texto) qui ne vient pas.
Livré à moi-même je ne sais que faire ou ne pas faire? Du coup je crois que l'immobilité n est pas bonne non plus. I semble qu il faillle trouver un juste milieu entre l exercice et le repos. Pas facile car ce type d'accident est inédit pour moi; en outre je n osais pas prendre des antalgiques le médecin ayant déjà prescit des anti-inflammatoires (ne paq abuser à cause de la muqueuse intestinale).
Bref, la joie pour moi! La joie; j ai obdervé que depuis l'accession au pouvoir de ce gouvernement j enchaine les ennuis; corrélation certes aléatoire mais qui induit chez moi une sorte de sourde contrariété qui n'arrange pas les choses et dans la population des records de tensions et de crispations. Ajouter à cela une météo brodant sur lla saison d automne. Durant cette longue nuit de nouveau je me disais: pourquoi le Mal? Comme tout une chacun, peut-être un peu plus très tôt dans ma vie j ai du faire face aux multiples figures grimaçantes de ce Mal...inexorable. 

Mon frère me disait l autre jour que les gens plus que jamais fuient les geignards; j ai envie de répondre geignards ou pas les gens sont peu enclins aux échanges. D'accord avec lui sur ce point: l'éthos dominant de cette société n est plus l'authenticité, la sincérité, la vérité de l'être mais la comédie de la sérénité, du calme, de l'impassibilité. First smile! Telle est la loi des marketers (à propos j ai en horreur cette publicité qui nous montre ces couples épanouis, ces familles "heureuses", ces séniors dynamiques, hystérisés par une nouvelle marque de fromage ou de savonnette. L'impératif du bonheur desseine en creux la souffrance sociale; Je préfère à la tyrannie du sourire commercial et au déni de réalité qu il implique l'échange vrai entre humains vrais, l'échange vrai qui n escamote pas la peine de la vie et non plus ses rares petites joies. Mais à mon avis tout se paye un jour: les masques finissent par tomber et alors ça risque de faire très mal: l effondrement; à toutes fins utiles: les psychanalystes considèrent que le déni de réalité est certes un macanisme de défense du moi mais c est un mécanisme psychotique qui appauvrit l'individu, assèche ses forces vives et le transforme en mannequin.

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