Méditer ...
Journée pluvieuse hier, donc assez désagréable surtout sans parapluie (que de fois je quitte mon appartement sans pluie et...hop! ça se décle,ceh sitôt dehors); mes deux élèves de Passy, avec du latin en prime: toujours ce plaisir d'apprendre: Rome et ses 7 Rois avant la République et l'Empire.
Le soir malgré ma paresse habituelle, école de méditation de Midal: beaucoupde monde, salle comble, pas mal de bobos, m'a-t-il semblé; il me parait que le discours, toujours utile de MIdal s'adresse à ce public avec les allusions au management, à la gestion, à l'instrumentalisationdes hommes.
L'ambiance est bon enfant, avec comme partout des gens à côté qui ne vous adressent pas la parole et une femme devant moi avec ungentil sourire à mon endroit: ça change les choses...
Retour chez moi, malgré le relatif inconfort de la posture que, d'après ce que j ai compris, il faudra rendre moins inconfortable avec le temps, un résultat sous forme d'"émergences" que je me suis empressé d'oublier. Tant pis; c'est cela, le lâcher prise. Quelque chose s'est passé ni une pensée ni une non-pensée, ni un ...fantasme.
Alors?
On verra ou pas car Midal a abordé justement le thème de la science pour critiquer son côté prédateur, volontariste, violent...
Certes mais la science a fait ses preuves; faut-il la jeter? Visiblemnt MIdal se fait l'apotre d'une approche poétique du monde; je peux le suivre s'il veut dire que la technoscience en sa phase actuelle souvent complice du capitalisme sauvage deveint une nuisance...
Plus que jamais science sans conscience...