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Choses vues entendues sues
17 juillet 2015

On n'en a jamais fini avec l informatique

"On n'en a jamais fini avec l'informatique" me disait le jeune ingénieur à qui je dois le peu que je sais dans ce domaine...
J'en ai eu une démonstration éclatante ce matin, une double démonstration:

1) pas moyen d'être reconnu; il a fallu in fin echanger de mot de passe; pourquoi? mystère

2) j'ai bien cliqué sur "publier" mais rien à faire: ma page reste à l'état de brouillon. Pis: elle a disparu; pourquoi?

Mystère!

Du coup je n'ai pas la patience de réécrire la page perdue où je notais mes rédlexions sur ce thème; en gros, on n'en a jamis fini suite aux aléas techniques, aux changements de même ordre (innovations techniques), aux effets de mode (de nos jours le nouveau seul a de la valeur comme tel), aux impératifs commerciaux; il faut vendre à tout prix quitte à apporter des modifications superficielles...

Je reviendrai là-dessus

Ce que je sais: l'usage de l'informatique participe au stress général tout en apportant des facilités nouvelles..
Mais qu'est-ce qui l'emporte, le positif ou le négatif?

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J
Cessons de penser à notre petite personne d'autant plus que cette petite personne, qu'on le veuille ou pas, est impactée par le monde tel qu'il va (ou plutôt ne va pas); nous sommes tous sous influence, peu ou prou. le cas extrême du délirant le montre bien: les discours les plus "fous" sont liés au temps de l'actualité ou du présent ou tramés par l'histoire immédiate ou plus reculée...Ainsi on a parlé à la radio de la mélancolie qui s est emparée du peuple grec suite aux mesures d'austérité dictées par les créanciers de ce malhereux pays; mélancolie, bile noire, un mot d'origine grecque comme tant d'autres, de poésie à démocratie, de musique à théatre...C'est un puissant symbole que la crise européenne connaisse son acmé dans cette petite péninsule où s'originent nos catégories de pensée..Ne pas sous-estimer l'efficience des symboles; les banques internationales donnent au peuple grec une possibilité de choisir entre deux maux aussi graves: politique insupportable d'austérité aggravée dans ce pays déjà exsangue ou sortie de l'union avec retour probable du parti néo-nazi et tiers-mondisation.Choix entre deux mauvaises solutions: dilemme ou tragédie; on n"a pas fini de parler et penser grec 160715
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