Le lancinant problème de l'Islam en France

Je me vois "contraint" de revenir sur ce délicat problème de l'islam en France; c'est la deuxième communauté à la fois religieuse et culturelle de ce pays avec 6 millions de personnes; (on compte 800.000 protestants, 600.000 évangélistes, 450.000 juifs, en nette diminution: 450.000, nombreux départs: 5 à 6000 personnes/an; çà rassurera les antisémites)-et je n'y peux rien - la seule qui nous pose autant de problèmes et graves et durables. Pas un jour sans problème: une attaque de deux policiers municipaux dans le Vaucluse tout récemment...Et çà continue...

A entendre certains journalistes Et pas seulement, polygamie, prêches extrêmistes, exigences insensées (alimentation hallal dans les cantines, examens médicaux des femmes par des femmes, port du voile ici et là, etc) mais surtout attentats sanglants; rappelons-nous la période noire en Algérie qui a fait des milliers de morts. La passivité officielle ici fait craindre le pire...Dans les années noires en Algérie, les cadavres jonchaient le sol
Hors de France, on compte 23 états  arabes, plus les états musulmans non-arabes comme l'Iran, ennemi n°1 d'Israël et l'Indonésie: on compte plus d'un milliard de musulmans dans le monde sur les cinq continents.
Pourquoi pas? Mais la question n'est pas là; le problème est le régime politique de TOUS ces pays; aucun n'est démocratique; le printemps arabe qui date de 11 ans a débuté en Tunisie mon pays de naissance. Mais très vite, ce printemps qui a essaimé dans la Maghrb et le Machrek (Moyen-Orient) a laissé la place à des régimes autoritaires.
Comme si la religion muslmane était décidément incompatible avec la démocratie à l'occidentale. J'ajouterai que dans les constitutions des pays musulmans l'article 1er stipule que "la religion d'Etat est l'Islam". Imaginons si c'était le cas en France: art. 1: la religion d'état est le catholicisme: levée de boucliers et hurlements de partout.
Avec la mondialisation des échanges et les flux migratoires qui ne cessent pas (les migrants préfèrent la France, c'est un fait; "ils" le disent uex-mêmes; Sécurité Sociale, pas mal; un taxi haïtien me l'a avoué) ce pays est exposé à l'exportation des identités meurtières (Amin Maalouf).
Toutes les horreurs que l'on voit en France sans compter: petite et grande délinquance dans les banlieues (agressions contre les femmes, attaques au couteau, etc) sont le fait des caïds de banlieue; le affaires  devenues difficiles avec le confinement d'où le regain de violence. Certains journalistes nous disent que dans certaines banlieues, on se croirait dans une ville arabe
Je tiens à préciser que:
1) je ne généralise pas à toute la communauté musulmane 
2) je ne suis pas motivé par la rancoeur alors que j'aurais pu l'être; il faut savoir que j'appartiens à une génération "sacrifiée" lors des indépendances. Il n'y a presque plus de Juifs en terre d'Islam; dois-je rappeler que les invasions islamiques ont commencé après l'Hegire en Afrique du nord alors que les Juifs étaient déjà là: cf la très ancienne communauté de Djerba. Enfin, il faut savoir que, en terre d'Islam, tout non-musulman (chrétien, juif ou autres) était considéré comme "dhimmi" soit citoyen de seconde zone, clairement (imôpts spéciaux notamment).
En d'autres termes si les indépendances ont "libéré" ces peuples du "joug colonialiste" on peut se poser la question; qu'ont-"ils" fait de leur indépendance?
Je reviens à l'actualité française pour voir les choses en face; je m'étonne (et ne m'étonne pas aussi) de la reculade macronienne; il n'est plus question de "séparatisme" mais d'une loi républicaine machin-truc.
Je commence à en avoir assez de la pusillanimité générale. Quand comprendra-t-on que tous ces musulmans massacreurs venus d'ici ou là jusqu'à la lointaine Tchétchénie ne supporte pas l'art de vivre à la française; ils tuent. 
Je suis pessimiste; j'en ai discuté avec mon ami avocat qui comme moi apprécie l'hospitalité et la gentillesse de nos concitoyens maghrébins (moi-même ai fait du bénévolat auprès d'élèves maghrébines et les mères de famille ont le coeur sur la main nentre plats locaux à déguster chez moi et repas-couscous sympathiques). Il pense que la religion musulmane est incompatible avec le régime républicain à la française.
Je ne suis pas d'extreme-droite, non! Je pense que j'en ai plus qu'assez et l'horreur dont a été victime un collègue enseignant de qualité justifie est venue porter le comble.
Je suis un idéaliste comme souvent ceux qui choisissent la carrière enseignante et en tant que franc-maçon; c'est le siècle des Lumières, soit de la raison, qui a donné naissance à cette organisation visant  l'universel.
Je me souviens; alors que nous étions en Tunisie mon frère et moi, nous étonnions: mais comment ces gens peuvent-ils encore porter des tenues datant du Moyen-Age.
Bien sûr, il ne s'agissait pas des tunisiens occidentalisés, ultra-minoritaires. Terminons par une note d'"espoir". Il faut bien pour ne pas céder au désespoir devan tant de passivité en haut lieu.
Le monde arabe compte des intellectuels très ouverts: Boualem Sansal, Amine Maalouf, l'imam de Bordeaux Tarek Obrou, Tahar Ben Djelloun, Ghaleb Bencheikh physicien devenu producteur de la très belle émission "cultures d'Islam", le regretté tunsien Abdel Wahab Meddeb, apôtre d'un Islam des Lumières qui a existé ( à Al Andalous au Moyen Age où le Juif Maïmonide écrivait en arabe) de même que l'Iran non arabe; ce pays a été une civilisation très ancienne: les Mèdes ont donné du fil à retordre aux Grecs, les Perses ont eu une réelle influence sur le aculture indienne et de grands poètes et mystiques ont une origine persane. Le Zoroastrisme ce sont eux...
Et je crois sincèrement que enfin çà commence à bouger. J'appernds ce amtin que des accords importnnts onté été signés en Israël avec d'autres pays du golfe...Business first!
Mais voilà le processus sera long, très long (cf encore le couvercle qui est retombé sur la révolution egyptienne et les difficultés de la tunisie aux prises avec les islamistes dans une société de plus en plus moderne).
Mais reste une terrible question.

Jusqu'à quand supporterons-nous en France cette terreur qui vient encore et toujours du même côté?