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Choses vues entendues sues
17 juillet 2016

Le carnage de Nice encore

Bien que j'écoute avec attention l'émission de Frédéric Lenoir et Leili Anvar, je préfère arrêter; il y a grave, beaucoup plus grave, le carnage à Nice (petite parenthèse; j ai failli commetre un lapsus calami signifiant hier: écrire Tunis au leiu de Nice, Tunis mon lieu de naissance; je précise qu'en dehors de la dimension méditerranéenne de ces deux villes, rien en commun...Je note que le monstre chauffard était, hélàs tunisien de originaire de M'saken parait-il plu sou moins jumelée avec Nice. Et lacanisons un peu, j en susi désolé car la situation est au deuil et à la peine: Tunis a tué Nice.

Les temps ont décidément changé: je ne retrouve plus "mes tunisiens"; le tunisien est femme,l'algérien homme, et le marocain lion dit-on. Aujourd'hui l'agneau tuniien est devenu loup psychotique.

Nice que je retrouve avec bonheur presque chaque hiver, son vieux quartier, sa place Masséna, italianisante, son quartier des musiciens près de la gare, sa place Garibaldi et son pan bagnat, sa pissaladière, son éélgant Lycée Masséna. Je suis loin de Pari quand je m'y rends et par le fantasme le voyage se fait aussi dans le temps. Au long de la promenade des anglais se succèdent les prestigieux hôtels, les jardins exubérants, les beaux immeubles blancs, vrai collier de perles...

Et c est ici dans ce lieu de rêve que l'irréparable a été commis, l'atroce dans l'atroce (ainsi que disait Denis Salas, le grand jusriste, en osant toucher à des enfants, c'est le sacré qui l'a été. Le seuil du supportable a été franchi à Nice Côte d'Azur.

STOP! Assez de larmes, de fleurs, de cérémonies funèbres, de discours routinisés, de lamentations; il est plus que temps d'AGIR, d'agir collectivement et efficacement et vite.

Nous sommes parait-il en guerre...L'échec de la politique est patent: je ne puis rester impassible devant la montée en puissance continue de l'horreur. L'absolu du Mal; rien ne saurait justifier la mort programmée d'un petit enfant. RIEN. 

En attendant avec la plus vive impatience la fin d'un gouvernement qui a à peu près tout raté, il faut réagir et, je me répète, réviser complètement la politique étrangère, intérieure, sécuritaire, médiatique.


STOP! VIVE LA VIE!

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