Dure époque...

Rencontre avec on frère hier pour lui remettre un chèque qui sera mensuel au titre d ema participation aux frais "astronomiques" de l' EPAHD où réside ma pauvre mère, victime de cette maladie du siècle "Alzheimer"...
Ce matin je fais comme tous les matins les comptes: le nombre de "moins" est impressionnant par rapport aux "plus" (est-il besoin de préciser que les coûts prennet l'ascensur alors que les rentrées stagnent (ne prennent même plus l escalier...) et voilà un autre motif d inquiétude comme si je n étais pas dans la surcharge...
Donc rencontre avec mon frère; il vient d'être licencié avec des indemnités certes mais rien d'indécent mia vu son âge le voilà à la retraite; eh bien je l ai trouvé en pleine forme; tout passe au dessus de lui. Toujours égal à lui-même quoi qu'il arrive; lui posant la question de son emploi du temsp il me érpond qu'il dessine et écrit; je précise que lui est "marié" et a une fille (ces deux femmes ne me contactent plus depuis mon déménagement, pourquoi? je l'ignore au moment de fragilité extrême que je vis actuellement). Sitôt qu'on aborde un sujet sensible c'est son intellect qui se met à fonctionner; rien ne semble l'éprouver; il continue sa vie comme avant; nous avons parlé de mon inquiétude métaphysique; lui m'a avoué qu'à 18 ans après une crise (je serais curieux de savoir l'intensité de ladite crise) il a opté semble-t-il définitivement pour la non-existence de Dieu, ce en quoi il rejoint la majorité croissante des occidentaux, et l'absence devie après la mort; aucun trouble, rien...
Je ne comprends pas cette placidité: mais grands dieux et les affects?

C'est au point où j'imagine suite à tel ou tel évènement ce que serait la réaction de mon frère et in fine sitôt rencontré il se montre toujours aussi calme; tant mieux pour lui!

Difficile d'imaginer telle dissemblance entre deux hommes issus des mêmes géniteurs: comment peut-on être persan?