Pulsions de vie, pulsions de mort
Dans cette période de ténèbres, une petite lueur hier: j interrogeais des élèves de 1ère dans un établissement catholique sis au coeur du 6ème, proche du Luxembourg: accueil aimable, bonnes conditions de travail, élèves bien élevés, niveau global satisfaisantde ceux-ci.
Je m'y étais déjà rendu lundi dernier et j'avais déjà obesrvé la qualité de l'accueil (ça existe encore dans quelques ilôts dans ce monde de folie: à titre d'exemple, j'ai lu que maintenant il était possibel de se marier avec soi-même!)...Un moment d'oubli de ses oucis qu m'assaillent, de ma tristesse, de mon désarroi, de mon isolement sans faille...
Et sitôt de retour chez moi, retrouvailles avec l'anxiété, la tristesse, le désarroi, les anticipations sombres, la nostalgie de temps plu simples, plus intelligibles, plus amicaux, plus HUMAINS...
Je treminerai par un rêve (trop freudien...); ma mère, chirurgien m'anesthésiait pour m'opérer au niveau de la bouche; mais une mère telle qu'elle était naguère, une femme "puissante".
Pulsions de vie, pulsions de mort: l'éternel combat.
Actuellement l'Occident en déliquescence, vieillissant, fasciné par la commémoration, attaqué d el'intérieur, ne croit plus en rien; comment moi, avec ce sentiment de délaissement (pas seulement un sentiment!pourrais-je lutter contre ce déclin? autant réel que fantasmé?)