On reprend
Petite interruption dus aux soucis de toutes sortes, le dernier en date, une inflammation de la paupière interminable; j ai demandé rendez-vous à mon ophtalmo qui ne peut me recevoir avant lundi prochain alors que la situation est presque intenable; c est ainsi dans ce beau pays. Le spécialistes sont surchargés: petite anecdote: un de mes psy m'avait confié qu'il ne rentrait de son cabinet que très tard; aussi trouvait-il son épouse endormie de même que son bébé venu sur le tard.
Pour ma part, toujours entre tristesse et angoisse, encore accentuées par le départ en vacances de ma "nounou" psy.
Sinon rencontre agitée avec mon frère; j ai enfin mis les choses à plat: "qu'en est-il de ta femme? de ma nièce? de toi (est-ce que tu vis seul ou au domicile familial. J 'ai été insistant prétextant que je n avais plus beaucoup à vivre et je regardais cette perspective comme positive puis qu il ne m'aura pas été donné de terminer cette sombre existence dans la joie d avoir un fils adoptif; la boucle se referme donc comme elle avait commencé, dans la peine.
Lui de me répondre en disant qu il m en avait déjà parlé et en mettant l'accent sur mes oublis avec une sorte de rage "jouissive"(toujours ce sentiment de revanche sur nos jeunes années). Du coup partagé entre la douleur et la colère je répondis avec des éclats dans la voix; et je supportais mal le productivisme du petit restaurant japonais que je connais bien. A peine avez-vous terminé un plta que le suivant se présente.
J'ai appris enfin que ma belle-soeur était fâchée à mort avec son seule frère (cela, je le savais en effet), et qu'elle travaillait dur, que ma nièce étudiait la climatologie et qu elle travaillait dur, que mon frère vivait seul tout en rendant visite à "ses femmes"; enfin il m a appris la mort de son "beau-père", un être odieux (le voir seulement vous donne une de l' allergie) qui le jour du décès de son épouse (la meilleure de cette famille, au total peu amène) s est empressé de voir sa maîtresse. Un homme infatué de lui-même, misogyne, cynique etc.
Mais paix à son âme...Mon frère n'est pas allé aux obsèques (il faut dire que son affectivité...); je crois savoir que le père indigne maltraitait sa fille, ma "belle-soeur".
Ah ,les familles comme on comprend la haine de Gide à leur égard; il faut dire que la "belle-famille" de mon frère est gratinée. A commencer par ma "belle-soeur" dont le pic de l'affectivité à mon égard était, alors que réunis autour de ma mère dans un excelelnt japonais elle précisait: "jean-louis a demandé des crevettes, pas des algues ou je ne sais trop quoi". C'est vraiment..flippant!
Mais selon mon frère cette femme qui a été sadisée par son propre père n'aime pas les hommes; quant à mon frère il a trouvé dans cette union le moyen de garder sa liberté...sexuelle tout en restant marié pour l état civil; c est "mieux socialement"
Il s est marié, ce frère, pour faire plaisir à mon père vant sa mort qui a reporté ses désirs sur lui, l aîné lui étant empétré dans uen sexualité différente, source chronique de souffrance.
Sinon, hélas, hier, dernier jour de cours avec une jeune fille déscolarisée, très sportive et douée; elle révise tant que les derniers cours se réduisaient à des échanges sur les sujets d actualité. Pourquoi pas? D autant que cette pauvre jeune fille ne pouvait plus litétralement fixer son attention. J'ai connu cel étant étudiant; de plus les études sont de plus en plus dures de nos jours (les palces sont chères et tout le monde n apas le cerveau surdimensionné de qui-vous-savez)
Curieux, la vie; çà avait mal commencé avec cette élève; réception glaciale le premier jour puis on s est quittés en nous souhaitant le meilleur, chacun traversant une période très sombre et ce fut la jeuen qui a réconforté le vieux: "la vie çà a des hauts et des bas". Pour moi c est surtout les bas...
J espère que cette élève réussira; elle est humaine dans le fond. Je remarquee en passant que je me confie plus facilement avec les élèves filles; impossible chez les garçons...
Ce sera tout pour aujourd'hui, c est déjà bien assez...